lundi 5 août 2013

Arles in black, suite...

On commence par le moins bon, Alison Rossiter, une américaine née en 1953. Moins bon, mais pas pire que d'autres prétentions minimalistes d'extrême orient ! Des images simples développées à partir de papiers photo non tirés, périmés, récupérés et datés fin XIX et XXème siècle. Des images latentes produites par l'infiltration de la lumière, l'oxydation des produits. Il ne faut pas abuser de ces photogrammes, mais un peu, ça fait rêver... La sobriété du temps qui a passé ! Ce qu'il en reste... Ce sera le seul "bricolage" qui m'aura touché. Un peu !

Aucun commentaire: