dimanche 2 juin 2013

J'avais arrêté la clope, aujourd'hui, j'ai arrêté les cigares de la Havane !

J'arrête toujours de fumer dans un petit paradis, c'est plus pratique. Je pense aux autres, à Noëlle, à Léa, et à tous un tas de personnes qui sont à dix mille lieux de penser que je pense à elles !
Je marche, huit neuf heures, non stop et vite ; je hurle à plein poumon, oui, non, raaaah, ce qui surprend et fait fuir deux daims, un lièvre et deux oiseaux gris.
Je me dirige au soleil et au temps qui passe.., à la boussole, quand le ciel se couvre. Et tout est beau autour de moi ! Le paradis dans la forêt !
La clope, les havanes, qu'est-ce que je vais bien pouvoir trouver comme tabac à arrêter pour la prochaine crise ?
JAUNE ! SOLEIL !

2 commentaires:

Calyste a dit…

Un de mes projets, que je compte réaliser avant la retraite (il me reste un mois!), sinon ce sera l'horreur!

CHROUM-BADABAN a dit…

Faut vraiment en ressentir la nécessité physique ou psychologique, la gène respiratoire, la douleur physique, l'énervement de l'assuétude et son corollaire, le manque, autrement, arrêter par prévention des cancers, ce n'est pas très motivant... même si vaudrait mieux !