Mémoire et Carnet de Bord. Oeuvres Anthumes & Z'Intimes & Zutiques.
dimanche 27 octobre 2013
lundi 7 octobre 2013
JE NE VEUX PLUS JAMAIS PERDRE DU TEMPS PHOTOGRAPHIER DES MERDES PAREILLES !
ET PLUS JAMAIS FAIRE ça, PUBLIER ça !
J'ai bien autre chose à faire et vous aussi vous avez bien autre chose à faire que de passer du temps à cliquer pour voir des trucs aussi désespérants !
Internet rend triste et con, parfois...
J'arrête, je fous tout ça à la corbeille, clic !
C'est la dernière fois !
Faut-il être retord pour y voir un drapeau ?!
Des saloperies comme ça, j'en ai plein l'ordinateur !
Et plein la tête !
Et par dessus la tête !
C'est bien le fait de bloguer qui m'amène à manquer totalement de discernement...
Et avec une grande méticulosité !
J'efface tout !
La Poste
Même La Poste devient aussi conne que moi. Ils ne savent même plus produire des timbres corrects. Nous vivons une époque de merde. Tu comprends pourquoi, Caliste, j'ai envie d'arrêter mes contributions de merde qui concourent à l'aliénation généralisée des masses !
Même plus foutus de dessiner correctement une Marianne ou un Ceres vermillon !
Les dents sont blanches, bien alignées sans aucune finesse.
La colle derrière, t'as pas intérêt à la lécher... (prononcez : laicher !)
Vois-tu pourquoi j'ai envie d'arrêter mes conneries ?!
ERREUR 404
ERREUR 404 me rappelle la Peugeot 403 de l'inspecteur Robillard ou la Panhard de l'inspecteur Ludovic. Puis Zappi Max, : qui réclamait de la ménagère : "la bise à Zappi" sur Radio-Télé-Luxembourg. Sans oublier les points Bartissol !
Et l'avion qui traçait maladroitement d'une trainée blanche, son écriture celeste et publicitaire, dans le ciel bleu de Rueil-Malmaison :
OMO
Vois-tu à quoi j'en suis réduit, cher Caliste !
Zappi Max contre le tonneau !
Je rêve !
dimanche 6 octobre 2013
Toutes ces conneries que j'ai écritesdepuis 2011 : à quoi bon ?
Plus tard, je me repentirai en enfer.
Mais quand j'apprends que je suis lu en Chine et en Serbie, je me sens pousser des ailes, fier de concourir au bien-être de l'humanité et à l'édification des masses laborieuses.
En vrai, j'en ai marre de bloguer, surtout sur les vieux bélinographes qui font parfois office d'ordinateurs ! Je perds beaucoup trop de temps à faire ça. J'ai déjà mes petits carnets privés et tout le reste de ma production en plus du boulot. Sans compter Toto, le psychanalyste.
En revanche, j'aime bien répondre aux autres blogueurs, parce que ça m'apporte plus de les lire et de commenter leurs articles que d'en écrire moi même - je sais d'avance ce que je vais dire, y a pas de surprises, sur mon propre blog !
Enfin et en plus, j'ai un besoin urgent de lire Jean Racine. Je n'en ai pas estimé l'urgence. Elle n'empêche pas tout le reste.
Pour le Jeannot en question ci-dessus, que me conseillez-vous de lire ?
Mais quand j'apprends que je suis lu en Chine et en Serbie, je me sens pousser des ailes, fier de concourir au bien-être de l'humanité et à l'édification des masses laborieuses.
En vrai, j'en ai marre de bloguer, surtout sur les vieux bélinographes qui font parfois office d'ordinateurs ! Je perds beaucoup trop de temps à faire ça. J'ai déjà mes petits carnets privés et tout le reste de ma production en plus du boulot. Sans compter Toto, le psychanalyste.
En revanche, j'aime bien répondre aux autres blogueurs, parce que ça m'apporte plus de les lire et de commenter leurs articles que d'en écrire moi même - je sais d'avance ce que je vais dire, y a pas de surprises, sur mon propre blog !
Enfin et en plus, j'ai un besoin urgent de lire Jean Racine. Je n'en ai pas estimé l'urgence. Elle n'empêche pas tout le reste.
Pour le Jeannot en question ci-dessus, que me conseillez-vous de lire ?
samedi 5 octobre 2013
De la Hauteur.
Ce matin j'ai mis mes escarpins Louboutin (pour faire plaisir à P.P. Le Moqueur).
Mes escarpins jaunes vertigineux..
Mes escarpins jaunes vertigineux..
Sont vertigineux, à la fois le jaune et les escarpins.
Le jaune escarpin Louboutin tient un peu du jaune canari sans toutefois être du jaune caca d'oie.
Hé bien figurez-vous qu'avoir une tête de plus que les autres, aux pieds, ça grandit son homme.
Cela permet notamment d'aborder les risques psychosociaux en toute sérénité.
Surtout en métro.
Normalement, ... normalement.
vendredi 4 octobre 2013
jeudi 3 octobre 2013
Pussy Riot. Lettre du camp 14 de Mordovie...
CE LUNDI 23 SEPTEMBRE, j’entame une grève de la faim. C’est une méthode
extrême, mais je suis absolument certaine que, dans la situation où je me trouve,
c’est la seule solution.
La direction de la colonie pénitentiaire refuse de m’entendre. Mais je ne renoncerai
pas à mes revendications, je n’ai pas l’intention de rester sans rien dire et de
regarder sans protester les gens tomber d’épuisement, réduits en esclavage par les
conditions de vie qui règnent dans la colonie. J’exige le respect des droits de
l’homme dans la colonie, j’exige le respect des lois dans ce camp de Mordovie.
J’exige que nous soyons traitées comme des êtres humains et non comme des
esclaves.
Voici un an que je suis arrivée à la colonie pénitentiaire n°14 du village de Parts.
Les détenues le disent bien — « Qui n’a pas connu les camps de Mordovie n’a
pas connu les camps tout court». Les camps de Mordovie, j’en avais entendu
parler alors que j’étais encore en préventive à la prison n°6 de Moscou. C’est là
que le règlement est le plus sévère, les journées de travail les plus longues, et
l’arbitraire le plus criant. Quand vous partez pour la Mordovie, on vous fait des
adieux comme si vous partiez au supplice. Jusqu’au dernier moment chacune
espère – « peut-être, quand même, ce ne sera pas la Mordovie ? Peut-être que j’y
échapperai ? » Je n’y ai pas échappé, et à l’automne 2012 je suis arrivée dans
cette région de camps sur les bords du fleuve Parts.
La Mordovie m’a accueillie par la voix du vice-directeur en chef du camp, le
lieutenant-colonel Kouprianov, qui exerce de fait le commandement dans la colonie
n°14 : « Et sachez que sur le plan politique, je suis un staliniste.» L’autre chef
(ils dirigent la colonie en tandem), le colonel Koulaguine, m’a convoquée le premier
jour pour un entretien dont le but était de me contraindre à reconnaître ma faute.
« Il vous est arrivé un malheur. C’est vrai, non? On vous a donné deux ans de
camp. D’habitude, quand il leur arrive un malheur, les gens changent leur
point de vue sur la vie. Vous devez vous reconnaître coupable pour avoir
droit à une libération anticipée. Si vous ne le faites pas, il n’y aura pas de
remise de peine. »
J’ai tout de suite déclaré au directeur que je n’avais l’intention d’effectuer que les
huit heures de travail quotidiennes prévues par le Code du Travail. « Le Code du
Travail, c’est une chose, mais l’essentiel, c’est de remplir les quotas de
production. Si vous ne les remplissez pas, vous faites des heures
supplémentaires. Et puis, on en a maté des plus coriaces que vous, ici ! », m’a
répondu le colonel Koulaguine.
Toute ma brigade à l’atelier de couture travaille entre 16 et 17 heures par jour. De
7.30 à minuit et demie. Dans le meilleur des cas, il reste quatre heures de sommeil.
Nous avons un jour de congé toutes les six semaines. Presque tous les dimanches
sont travaillés. Les détenues déposent des demandes de dérogation pour travailler
les jours fériés, « de leur propre initiative », selon la formule employée. En réalité,
bien entendu, c’est tout sauf leur initiative, ces demandes de dérogation sont écrites
sur l’ordre de la direction du camp et sous la pression des détenues qui relaient la
volonté de l’administration.
Personne n’ose désobéir (refuser d’écrire une demande d’autorisation à travailler le
dimanche, ne pas travailler jusqu’à une heure du matin). Une femme de 50 ans avait
demandé à rejoindre les bâtiments d’habitation à 20 heures au lieu de minuit, pour
pouvoir se coucher à 22h et dormir huit heures ne serait-ce qu’une fois par
semaine. Elle se sentait mal, elle avait des problèmes de tension. En réponse, il y a
eu une réunion de notre unité où on lui a fait la leçon, on l’a insultée et humiliée, on
l’a traitée de parasite. « Tu crois que tu es la seule à avoir sommeil? Il faudrait
t’atteler à une charrue, grosse jument ! » Quand le médecin dispense de travail
une des femmes de la brigade, là encore, les autres lui tombent dessus : « Moi je
suis bien allée coudre avec 40 degrés de température ! Tu y as pensé, à qui
allait devoir faire le travail à ta place ? »
A mon arrivée, j’ai été accueillie dans ma brigade par une détenue qui touchait à la
fin de ses neuf ans de camp. Elle m’a dit : « Les matons ne vont pas oser te
mettre la pression. C’est les taulardes qui le feront pour eux.» Et en effet, le
règlement est pensé de telle façon que ce sont les détenues qui occupent les
fonctions de chef d’équipe ou de responsable d’unité qui sont chargées de briser la
volonté des filles, de les terroriser et de les transformer en esclaves muettes.
Pour maintenir la discipline et l’obéissance dans le camp, il existe tout un système
de punitions informelles: « rester dans la cour jusqu’à l’extinction des feux »
(interdiction d’entrer dans les baraquements, que ce soit l’automne ou même
l’hiver – dans l’unité n°2, celle des handicapées et des retraitées, il y a une femme à
qui on a amputé un pied et tous les doigts des mains : on l’avait forcée à passer une
journée entière dans la cour — ses pieds et ses mains avaient gelés), « barrer
l’accès à l’hygiène » (interdiction de se laver et d’aller aux toilettes), « barrer
l’accès au cellier et à la cafétéria » (interdiction de manger sa propre nourriture, de
boire des boissons chaudes). C’est à rire et à pleurer quand une femme de 40 ans
déclare « Allons bon, on est punies aujourd’hui ! Est-ce qu’ils vont nous punir
demain aussi, je me demande ? » Elle ne peut pas sortir de l’atelier pour faire
pipi, elle ne peut pas prendre un bonbon dans son sac. Interdit.
******
OBSÉDÉE PAR LE SOMMEIL, rêvant juste d’une gorgée de thé, la prisonnière
exténuée, harcelée, sale devient un matériau docile à la merci de l’administration,
qui ne voit en nous qu’une main-d’oeuvre gratuite. En juin 2013, mon salaire était de
29 roubles (moins d’un euro !). Alors que la brigade produisait 150 uniformes de
policier par jour. Où passe le produit de la vente de ces uniformes?
mercredi 2 octobre 2013
J'ai rêvé.
J’ai fait un rêve.
A un moment de la nuit, j’ai fait un rêve abominable que je
ne comprenais pas. Je suis dans
l’incapacité d’appeler ce rêve cauchemar. Un rêve. J’essayais en vain
d’échapper à « un personnel soignant » qui tentait de m’intercepter
parce que j’avais connu un crime
(lapsus, je dis connu à la place de : commis !).
Un crime que j’ignorais (lapsus, je dis ignorais à la place
de : que je ne voyais pas). Je ne voyais pas de quoi il s’agissait.
Ce rêve s’est répété plusieurs fois de la même façon.
Probablement deux ou trois fois. A la dernière reprise, le même rêve était
tellement lancinant, tellement éprouvant, qu’il avait lieu dans un
demi-sommeil. Il tournait dans ma tête, sans fin, quasiment à l’identique. Les
variations de son scénario n’étaient que de vaines tentatives rêvées pour
comprendre ce qui me valait d’être dans une telle situation.
Je ne me souviens pas du début du rêve, le début concernait
le crime, celui qui me valait d’être poursuivi. Je comprenais que, dans le rêve,
je ne le saurais jamais. Que je ne connaitrais pas les motifs de mes
poursuivants. Mais à la dernière reprise de ce rêve récurrent, je me suis
finalement rendu à mes poursuivants. Je n’ai pas réussi à leur filer
entre les mains (lapsus, j’écris réussi à la place de : voulu
leur échapper). Je me suis laissé prendre parce que j’en avais assez et je ne
voulais pas que ce rêve se reproduise une quatrième fois. Être pris pour qu’un procès me rappelle et
explique ce crime.
Comme j’étais dans un demi-sommeil, je me suis réveillé,
sonné, groggy. Dans le rêve, j’éprouvais une honte immense, honte de vivre
après ce que j’avais commis mais dont j’ignorais tout. Honte face à Noëlle,
face à ma fille, honte à la face du monde. Comme si j’avais violé un bébé et
ensuite comme si je l’avais achevé. Ce rêve, je n’ai pas eu l’impression qu’il
arrivait pour la première fois dans mes nuits. Au contraire, j’ai eu l’impression
de l’avoir déjà subi il y a longtemps au moins une ou deux fois dans ma vie.
Ensuite, après m’être réveillé, j’ai pensé : mais
qu’avais-je donc commis de si grave ? Je dis qu’avais-je au passé,
parce qu’une fois réveillé, je me suis bien rendu compte que je n’avais commis
aucun crime aussi grave, ça se saurait, ça s’aurait su ! Alors j’ai
pensé : mon père un jour a du me demander une chose que je ne pouvais pas
faire. Un truc pas forcément formulé clairement, dit de façon tacite, qui me
rendait impuissant et incapable d’accéder à ses désirs. Mais qu’a-t-il bien pu
me demander de prendre sur moi ? Quelle chose impossible m’a-t-il demandé
de faire ?
J’ai repensé que lui, avait été obligé de travailler à
quatorze ans, parce que son père était mort d’un infarctus, parce que son grand
frère était mort sous les bombes anglaises dans la rade de Toulon. Il a du quitter l’école pour
travailler dans un atelier d’ajustage afin de nourrir le reste d’une famille
« méditerranéenne élargie », il n’avait pas d’autre frère que son grand
frère, mais une mère et tout le reste de la famille, oncles âgés, tantes etc.
Mais je me suis dit : s’il m’avait demandé à ce moment d’arrêter l’école
pour faire comme lui, je n’aurais pas été heureux parce que j’aimais l’école
comme tous les enfants. Mais ce n’aurait pas été une chose impossible pour moi
de le faire.
Tout ça, je l’ai pensé, l’esprit embrumé par l’horrible
rêve et le sommeil manquant. Ce n’était pas un crime de quitter l’école pour l’usine,
j’aurais pu accéder à ses désirs. J’aurais pu faire ce qu’il me demandait,
aller travailler comme lui et quitter l’école, la mort dans l’âme certes, mais
j’aurais pu le faire, comme lui l’avait fait avant moi. Alors que me
demandait-il d’impossible à réaliser ?
De si terrible ? Que m’a-t-il implicitement demandé de faire qui
était au dessus de mes forces d’enfant ? Parce que j’aurais fait tout ce
qui était en mon pouvoir pour faire ce qu’il voulait. J’étais bêtement voué à
lui, je l’admirais, j’étais fier de lui, il était aviateur comme
Saint-Exupéry !
Un peu plus réveillé, après avoir jeté sur un brouillon
tout ce qui précède, j’ai immédiatement pensé à ceci : il a tué des gens
en les bombardant avec son avion. Au Vietnam. Quand il croyait m’a-t-il dit aux
bienfaits de la civilisation française sur les colonies. Quand le seul moyen de
se sortir de l’usine pour faire des études, quand on est pauvre, était
d’intégrer l’armée. Lui ça a été l’Aéronavale. Il a du me demander d’endosser
la seule chose qu’il ait jamais été capable de revendiquer : avoir tué des
innocents, des civils, durant les opérations, comme on disait à l’époque.
J’ai senti que c’était ça, le crime. J’en suis sûr !
Ce n’est pas facile d’en être sûr à 100 %.
Mais j’en suis sûr. Si je me suis réveillé à cinq heures du matin pour
écrire tout ça, c’est qu’il y a une raison valable. Parce que j’aurais préféré
dormir tranquillement, la veille je m’étais levé à cinq heures du matin pour
écrire un texte sur les Rom et couché très tard, à deux heures pour dessiner
des oiseaux. Des oiseaux, des avions ? Pas si tendres que ça les oiseaux, ce
sont des mouettes et si elles ont le vol élégant, elles sont, sur la mer, très
violentes ! Sur la mer :
aéro-naval ! Il n’y a pas de hasard à mes dessins, cette envie de dessiner
des oiseaux de mer dont l’apparence est trompeuse : ils sont cruels.
Bien entendu, tout ça n’est pas venu simplement. La veille,
avec ma fille, j’ai visionné un DVD qu’on m’a prêté. C’est parait-il celui
d’une série télévisée. Une œuvre israélienne : In Traitement, En Analyse.
Il y a un épisode avec Paul, le thérapeute et Alex le pilote d’un Fouga-Magister
à la sauce 2012 qui a bombardé une madrasa (une école) pleine d’enfants durant
la guerre du golf en Irak. Tous les bombardements tuent aveuglément et d’abord,
les personnes les plus vulnérables incapables de se protéger. Le summum étant
celui sur la ville d’Hiroshima. Mon père a fait ça. Evidemment, c’est un crime
qu’il m’est et qui m’était impossible à endosser étant enfant.
Cet horrible rêve qui ressemble à un cauchemar mais que je
me refuse à qualifier comme tel, cauchemar, parce que le mot me parait trop
faible, ce rêve a éveillé ce qui m’était inconscient jusqu’à présent : mon
père m’a tacitement refilé en héritage sa responsabilité face aux morts qu’il a
faits en bombardant des Vietnamiens dans le cadre d’une guerre coloniale. Bien
entendu, ce n’est pas lui qui appuyait sur le bouton, ils étaient plusieurs
servants dans les gros avions qui survolaient les villes du Nord-Vietnam. Mais
quand même ! Il savait bien ce qu’il engendrait : des morts et des
morts, des civils, des familles, etc.
Que puis-je faire à présent de tout ça ? A part me
rendormir !
Les avions étaient, je crois me souvenir des termes, des
Bréguet-Atlantique, des Nord-Atlas, des Lancaster, des Neptunes, des hydravions
Catalina, des Fouga-Magister, des Lockheed. Les bombardiers-torpilleurs
partaient du porte-avions Dixmude basé à Toulon ! Là où son grand frère
était mort. Ils faisaient des « sorties » ! Et les hélicoptères
s’appelaient des Super-Frelons, des Alouettes ! La guerre est un jeu
d’enfants, je m’en souviens encore, comme si j’étais né ! C’était en
1952-1953, avant ma naissance fin 1953, quand mon père m’a conçu, en retour
d’une mission. Tout ce qu’il a réussi à me dire sur le Vietnam, c’est
que les Vietnamiennes n’avaient pas de poil ! Avec le fait de décalotter
mon zobi, ce fut ma seule éducation sexuelle. En la matière, je suis
autodidacte !
Papa ensuite a très bien réussi sa carrière dans le
nucléaire… militaire. Mais c’est une autre histoire !
lundi 30 septembre 2013
Katia, Katia Guerreiro ! lo fado pour ceux qui et ceux qui pas !
Une heure dans un boudoir. Katia Guerreiro je préfère la voir sur scène comme hier au Cirque d'hiver. Il y avait aussi Christina Branco ! Lo Fado, une fois tombé dedans tu n'en sors pas !
dimanche 29 septembre 2013
samedi 28 septembre 2013
Intégration à l'usage de ceux qui savent lire
Intégration
Ce
que je déteste chez les Roms, gitans et chez les autres rastaquouère* de toutes origines, ce sont les
rapports de servitudes qu’impose une mafia brutale sur les plus faibles de leur
communauté, les femmes, les enfants et toutes personnes vulnérables ou handicapées.
Je n’aime pas cette mafia qui ponctionne les si faibles gains de la mendicité, impôt
total et qui ne peux être rentable qu’à une très grande échelle de servitude et
de violence. C’est pas comme le maquereau avec sa « femme » où là
existe la possibilité d’un rapport de force entre les protagonistes quand les
relations ne sont pas trop violentes (coups, drogue, chantage). Vous me direz,
toutes les communautés immigrées se conduisent ainsi. Il y a toujours une mafia
qui impose sa domination sur les gens et leurs revenus. Mais pour se souvenir d’un
cas extrême, le FLN imposait sa suprématie politique, communautaire et fiscale
sur les habitants des bidonvilles. Mais avec intelligence, même dans sa
violence il y avait une logique, en obligeant uniquement ceux qui étaient
solvables ! D’autre part, d’accord ou non avec le FLN, leur objectif, s’il
était d’étendre leur suprématie, était également aussi celui du bien-être
de leur communauté. Chaque mafia a sa conception toute personnelle du bien-être ;
jusqu’au capitalisme le plus développé ! Chez les Roms et autres
communautés ressemblantes, on n’a pas le sentiment que les mafias ont pour
objectif de diriger leur communauté vers un certain bien-être ! Ils
dirigent leurs gens vers la misère la plus débile. Les mafieux Roms et autres
sont des gros cons. Peut-être me trompis-je sur leurs objectifs ?! Leurs
objectifs sont peut-être très nobles ?! Je peux comprendre que la fin
puisse justifier exceptionnellement certains moyens dans une situation
particulière ! Alors vite détrompijé-moi.
L’intégration.
La première fois que j’ai connu le mot, c’était en math ! Les fonctions et
leurs intégrales. Ensuite, très marginal, on m’a fait comprendre, et j’ai bien
compris, que je n’étais pas du tout intégré socialement. Je vivais trop
solitaire et trop sauvagement pour même donner le change. Un peu voyou, j’avais
l’argent nécessaire pour qu’on me foute la paix, pour qu’on ne me pose aucune
question. Puis pour diverses raisons, et en fonction de mes facultés, de mes
capacités, je me suis intégré. Oh pas à tous les niveaux, loin de là. J’ai
toujours une personnalité sauvage, une résistance aux institutions, etc. Mais j’accepte
les compromis acceptables (!) dans certaines situations sociales. Pas dans
toutes, ni systématiquement, loin de là. Autrement dit, je m’intègre à la carte, comme
je veux et comme je peux. Pour le reste, je ne suis pas du tout intégré, ni intégrable.
Et encore, je suis citoyen français de naissance ! Alors, si j’étais d’une
autre origine… voyez-vous ? !
C’est
dans ce sens que je comprends les gitans de tout bord. Ils veulent vivre
comme ils l’entendent. Ils veulent s’intégrer comme ils l’entendent. C’est
normal. On ne peut pas plier les gens contre leur gré. Moi je comprends tout à
fait qu’on se débrouille en vivant dans des bidonvilles. Je ne trouve pas ça
indigne. Pas plus qu’une cabane au fond des bois. Au contraire, je trouve ce
genre d’habitat assez civilisé. Si en plus on peut y ajouter un peu de sécurité…
Plutôt que d’y pulvériser de la précarité… Je dis ça sans ironie, ceux qui me
connaissent savent mon goût des ruines et des habitats insalubres ! J’aime
vraiment les bidonvilles ; j’ai la nostalgie de ceux de Nanterre, de La
Folie à Nanterre. Je trouve que les bidonvilles sont plus intégrés qu’une
cabane au Canada. Plus civilisés, plus sociaux. Ce dont ils manquent, c’est de
sécurité, comme les favelas brésiliens. Si en plus la Police, sous couvert de
justice, rajoute de l’insécurité ! Je ne sais pas trop ce qu’a dit Manuel
Vals. Toujours est-il qu’il na pas démenti les propos qu’on lui prête. C’est donc comme s’il les avait tenus. Je
préfèrerais qu’il, et la police, protège les habitants des habitats précaires,
vulnérables aux violences et aux mafieux en tout genre. Que la police protège
les habitants plutôt qu’elle ne les expulse, et pour aller où ? Je le demande ?
Je souhaiterais que la Police s’occupe des mafieux merdiques qu’on voit traîner
à la porte de Montreuil dans de grosses cylindrées rutilantes qu’ils se paient
en exploitant les bulgares (très pauvres, femmes et enfants en guenilles) qui
vivent là depuis quelques années, près de Puces, dans des voitures complètement
délabrées. L’hiver, je ne vous dit pas le spectacle et sa désolation… L’été, ce
n’est pas mieux ! Il y a des voleurs au sein de la communauté Rom ?
Ha bon ! Comme si cela n’était pas naturel : il y en a dans toutes
les communautés, y compris la notre : je suis bien placé pour le savoir,
je l’ai été ! Il y a la Justice pour régler ça ; et aussi l’école,
comme disait Victor Hugo, une école est une prison en moins !
*(rastaquouère :
personnage
exotique étalant un luxe suspect et de mauvais goût)
vendredi 27 septembre 2013
jeudi 26 septembre 2013
L’AVEUGLE DE BAGNOLET
J'ai toujours aimé cette vieille chanson depuis que je la connais; je pourrais vous la chanter si l'informatique le permettait ! Et me baladant à Bagnolet, voici que je découvre un bistrot à l'enseigne : L’AVEUGLE DE BAGNOLET. Parce que le type, l'aveugle guidé par une petite fille habitait là !
Air : Ronde de la Ferme et le Château
À Bagnolet j’ai vu naguère
Certain vieillard toujours content.
Aveugle il revint de la guerre,
Et pauvre il mendie en chantant. (bis.)
Sur sa vielle il redit sans cesse :
« Aux gens de plaisir je m’adresse.
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît. »
Et de lui donner l’on s’empresse.
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît,
« À l’aveugle de Bagnolet. »
Il a pour guide une fillette ;
Et, près d’aimables étourdis,
À la contre-danse il répète :
« Comme vous j’ai dansé jadis.
« Vous qui pressez avec ivresse
« La main de plus d’une maîtresse,
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît ;
« J’ai bien employé ma jeunesse.
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît,
« À l’aveugle de Bagnolet. »
Certain vieillard toujours content.
Aveugle il revint de la guerre,
Et pauvre il mendie en chantant. (bis.)
Sur sa vielle il redit sans cesse :
« Aux gens de plaisir je m’adresse.
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît. »
Et de lui donner l’on s’empresse.
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît,
« À l’aveugle de Bagnolet. »
Il a pour guide une fillette ;
Et, près d’aimables étourdis,
À la contre-danse il répète :
« Comme vous j’ai dansé jadis.
« Vous qui pressez avec ivresse
« La main de plus d’une maîtresse,
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît ;
« J’ai bien employé ma jeunesse.
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît,
« À l’aveugle de Bagnolet. »
Il dit aux dames de la ville
Qu’il trouve à de gais rendez-vous :
« Avec Babet, dans cet asile,
« Combien j’ai ri de son époux !
« Belles, qu’une ombre épaisse attire,
« Là, contre l’hymen tout conspire.
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît ;
« Les maris me font toujours rire.
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît,
« À l’aveugle de Bagnolet. »
S’il parle à de certaines filles
Dont il fit longtemps ses amours :
« Ah ! leur dit-il, toujours gentilles,
« « Aimez bien et plaisez toujours.
« Pour toucher la prude inhumaine,
« Trop souvent ma prière est vaine.
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît ;
« Refuser vous fait tant de peine !
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît,
« À l’aveugle de Bagnolet. »
Mais aux buveurs sous la tonnelle
Il dit : « Songez bien qu’ici-bas,
« Même quand la vendange est belle,
« Le pauvre ne vendange pas.
« Bons vivants que met en goguette
« Le vin d’une vieille feuillette,
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît ;
« Je me régale de piquette.
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît,
« À l’aveugle de Bagnolet. »
D’autres buveurs, francs militaires,
Chantent l’amour à pleine voix,
Ou gaîment rapprochent leurs verres
Au souvenir de leurs exploits.
Il leur dit, ému jusqu’aux larmes :
« De l’amitié goûtez les charmes.
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît ;
« Comme vous j’ai porté les armes !
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît,
« À l’aveugle de Bagnolet. »
Faut-il enfin que je le dise ?
On le voit, pour son intérêt,
Moins à la porte de l’église
Qu’à la porte du cabaret.
Pour ceux que le plaisir couronne,
J’entends sa vielle qui résonne :
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît ;
« Le plaisir rend l’âme si bonne !
« Ah ! donnez, donnez, s’il vous plaît,
« À l’aveugle de Bagnolet. »
mardi 24 septembre 2013
Paranoïa suite !
Les écolos prennent le pouvoir. Les Khmers verts décident d'embarquer à la campagne tout ceux qui n'ont pas la fibre bio ! Les pauvres, les illettrés, les adeptes du diphényle et du phénylbenzène, les fous des fours nucléaires, les sniffeurs de diesel, bref tout ceux et celles qui font des cocktails Molotov avec leur canettes de bière au lieu de les mettre dans les conteneurs ad hoc, etc. Parce que l'écologie, c'est pas encore pour les pauvres ! Les khmers-verts en sont pour le moment au tri sélectif. Mais ils ont déjà les moyens de nous embarquer : regardez voir si j'y suis ?!
Putain-puceau, on risque gros !
dimanche 22 septembre 2013
Paranoïaque rouspète pis pète
Sans vouloir être paranoïaque, les moyens techniques (informatiques) sont là, ne restent qu'à mobiliser (c'est facile) des moyens humains afin de pourvoir des emplois laborieux accessibles à tous, notamment aux chômeurs en fin de droits, emplois sans grande qualification (repérer à la louche les déviants, les lister et les dénoncer), emplois de policiers (les arrêter), et la boucle est bouclée.
Je m'explique.
En Grèce, (berceau de la Démocratie), "Aube-Dorée" parti non seulement d'extrême droite mais ouvertement néo-nazi, traque et tue. On se croirait, grand retour en arrière, à l'époque des "Généraux". C'est pas une "bagarre entre jeunes" comme pour Clément Méric, si tant est qu'on puisse qualifier son assassinat de "bagarre entre jeunes". C'est un mec de 45 ans qui tue un jeune rappeur. Ce sont les forces de l'ordre qui attendent un peu que tout le monde se disperse avant d'intervenir ce qui permet à certains (des flics?!) de filer et prendre la poudre d'escampette.
Le film Z remasterisé !
Ils font 30%, les nazis et ils ont 18 députés...
Bon ok, nous, on a une fillette Le Pen qu'on n'entend pas et Gilbert Collard qui se cure les dents. Mais quand même, ils ont été élus...
Et je me dis : avec toutes les conneries qu'on raconte et qu'on met en ligne sur la Toile, en toute liberté, sans autre restriction que le cadre légal, le jour où ils rouvriront les stades pour obliger tout le monde à faire du foot, (ou bien la prière) on sera peut-être première ligne ?!
Je ne me vois pas trop en avant-centre !
Et me revient à la mémoire "Québec-Love" de Robert Charlebois, chanson que je n'avais jamais vraiment comprise, pour sûr, c'est du chiak !
Pis pet de hasch ça c'est de la marde
Des Calisch pis pet fume pas
Pis moé je m'en crisse fume ou fume pas
C'est le même problème moé j'en ai pas
Comprends-tu ça comprends-tu ça
Pour moi c'est clair comme de l'eau de roche
Rocher Percé t'en souviens-tu
Y'a toujours la pis y bouge pas
Y'a rien qu'un oeil mais y te regarde
Ça c'est moi toi tu me vois pas
Comprends-tu ça comprends-tu ça
C'est comme ton ombre tu regardes pensant que c'est toé
Mais c'est pas toé ton ombre te suit suis-la donc pas
C'est ma bébelle c'est note bébelle
Moi je m'en occupe occupe-toé pas
Comprends-tu ça comprends-tu ça
samedi 21 septembre 2013
For men only !
Une nouvelle expo, au Musée d'Orsay : MASCULIN ! Il y a un coté toilettes séparées, Men-Women, Hommes-Femmes ! Je dirai même plus, il y a un coté Herren, comme dans les toilettes sud-africaines au temps de l'apartheid : For White Men ! A moins qu'il nous mettent des Leni Riefenstahl !
Bon. Mais ça à l'air d'être plein de mecs à poils !
Alexandre Dumas, ambrotypes
Il y a deux types, des américains, des gringos assez sympaticos, qui à la hauteur du 15 rue A. Dumas Paris XIème, sur le trottoir, font des ambrotypes. Ils photographient avec une chambre (caméra obscura) dans la rue des personnes qui le souhaitent, tirent le négatif (sur une plaque de verre, 13X18 je crois) et font leur positif en planche contact sur une plaque de verre, en noir et blanc et avec ces gris si beaux et très caractéristiques de l'ambrotype. Quand je dis "les gens qui le souhaitent", ça signifie ceux qui ont cent euros à débourser... salauds d'ricains !
En tout cas l'idée est sympa; j'ai proposé à la patronne de la boutique Un livre-Une image d'y faire des
sténopés, sur "son" trottoir. Je ne sais pas combien je vendrai le
cliché, mais s'il s'agit de faire cracher les bobos du quartier, ça va
coûter bonbon ! C'est compliqué avec les bobos : on oscille entre la détestations et l'intérêt, ça dépend de leurs attitudes, beaufs ou attentionnés ! On demande aux bobos, ce qu'on demande à tout un chacun : d'être intelligent !
Les gris de l'ambrotype donnent à peu près ça, ceux qu'on voit sur le haut du cliché, si votre écran d'ordinateur n'est pas trop bleu !
mercredi 18 septembre 2013
mardi 17 septembre 2013
A la recherche du temps perdu
En horlogerie, le temps perdu est le laps de temps entre le tic et le tac. On dit aussi le chemin perdu. C'est la distance que parcourt le balancier entre l'extrême gauche et l'extrême droite. La vitesse à laquelle le balancier parcours ce chemin se règle par une molette afin que l'heure soit juste, ni trop rapide, ni trop lente, ça dépend des saisons et de la légère inclinaison de la pendule et sans doute de bien autres facteurs !
Ici le balancier file bon train, il est probable que l'horloge va "avancer" ! Cette horloge, je l'ai trouvée il y a quelque jour dans une poubelle. J'aime Paris pour ses poubelles ! Et sur internet, j'ai acquis pour une très modique somme une clé à intérieur carré de 4,00 mm ; c'est précis au 1/10 près ! Moralité, il faut vivre à Paris et avoir internet pour vivre heureux avec le tic-tac de l'horloge. Mais quand j'écoute les diffusions audios que P.P. Le Moqueur met sur son site (Liberace, le vrai, par exemple !) ou quand les éboueurs passent sous mes fenêtres, je n'entend plus le tic-tac, je perds mon temps perdu, mon latin, mais j'aime bien aussi écouter les trucs à P.P. et le bruit du camion des éboueurs qui me dit qu'il est 17h45 et qu'il me faut filer fissa à une réunion pour ne pas être en retard ! Bye !
lundi 16 septembre 2013
Si rire en Syrie ne vous fait si rien, qui voulez vous qu'on fesse ?
Puisque je vous dis que c'est du protoxyde d'azote, de l'oxyde nitreux, du gaz hilarant quoi ! C'est pas interdit ça, non ?! Allez, je ne suis pas chien, je vous donne la formule : N2O !
Ça vient de Russie !
Les pharmaciens sont des marrants !
Toujours en train de pleurer. En ce moment, c'est parce que des Grands-Distributeurs-de-La-Grande-Distribution vont vendre des médocs dans les rayons ad hoc. Et ça leur fait une concurrence déloyale, les pôvres biquets ! Mais il faut voir ce qu'ils vendent dans leurs officines :
On se croirait revenu au XIXème siècle...
dimanche 15 septembre 2013
La planche à billets !
FAUX BILLETS DE ZERO EURO
D’abord télécharger ces quatre photos piquées sur le site
suivant : http://azeizdazeiz.canalblog.com/
Photo originale : Miguel Rehin
Autrement dit, c'est eux : La Plume qui vole et Miguel Rehin. C'est pas moi, hein !
Ensuite :
1° Mettre ces quatre photos comme ça sur une feuille A4. C’est
le bon format
2° Equilibrer la répartition des quatre photos de manière
symétrique
3° Faire un recto verso en couleur
4° Découper au massicot
5° Démerdez-vous pour que ce soit dans le bon sens !
6° 0 + 0 = ?
Glissés parmi d'autres billets, ni vu ni connu !
Et de beaux billets tout neufs à dépenser ce dimanche !
Et qu'est-ce qu'on dit ?!
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